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En créant son site web, LE TONUS a décidé de sortir de l’ornière.
Quoi de plus normal au regard du nombre de partenaires de plus en plus croissant de l’ONG, de sa zone d’intervention de plus en plus élargie et de ses domaines de plus en plus diversifiés et surtout de son professionnalisme de plus en plus aigu dans certains domaines.
Après douze ans d’intervention, nous estimons qu’il est temps, maintenant plus que jamais, de partager avec le public et surtout les partenaires nos expériences, résultats et acquis.
IL y a deux manières de concevoir le développement dans un pays comme le nôtre. Celle qui consiste à accepter le prêt à penser et les recettes supposées universelles. Et celle qui propose de privilégier la réflexion autonome et la souplesse d’approche. La première a été longtemps préconisée par divers organismes internationaux aux pays africains et elle a souvent fait de nos économies le champ d’expérimentation pour des concepts plus ou moins discutables. La seconde s’impose de plus en plus avec notamment la montée en importance des acteurs locaux et la venue de partenaires alternatifs. Elle ne cherche pas à bouleverser l’existant à coup de réformes hasardeuses. Elle s’efforce de changer au quotidien le vécu des populations, en s’intéressant d’abord aux plus démunies d’entre elles.
Ici au Tonus, nous sommes résolument adeptes de cette seconde démarche faite de progressivité, de proximité et de pragmatisme. Aucune de nos opérations n’est entamée qui n’ait été précédée d’une étude méticuleuse. Aucune de nos actions n’est menée qui n’ait associé de manière étroite et permanente les bénéficiaires. Aucun de nos projets n’est conçu qui ne soit dominé par l’ambition d’en pérenniser les résultats. Le respect de ces principes a permis à notre ONG de monter régulièrement en puissance en justifiant la confiance de ses partenaires et en gagnant l’adhésion des populations. « Confiance » et « adhésion » sont les concepts majeurs qui ont présidé à la naissance de Tonus et qui accompagnent son action.
La visite de notre site permettra de constater que nous avons la volonté d’entreprendre ce que nous faisons le mieux : aider les populations rurales à consolider leurs revenus, à améliorer leurs conditions de vie et à protéger leur environnement. Notre site révèle également notre ambition d’en faire toujours plus. Nous élargissons constamment le champ de nos interventions, forts de l’expertise accumulée et des résultats obtenus. A l’heure où la décentralisation est devenue une réalité irréversible dans notre pays, il est indispensable que les collectivités locales pensent toujours mieux leur développement. Non pas dans la tentation de l’autarcie. Mais dans l’enrichissement des savoir-faire acquis et dans l’ouverture à l’innovation. C’est cette vision que le Tonus aide à concrétiser. C’est ce mouvement qu’il accompagne.
En créant son site web, LE TONUS a décidé de sortir de l’ornière.
Quoi de plus normal au regard du nombre de partenaires de plus en plus croissant de l’ONG, de sa zone d’intervention de plus en plus élargie et de ses domaines de plus en plus diversifiés et surtout de son professionnalisme de plus en plus aigu dans certains domaines.
Après douze ans d’intervention, nous estimons qu’il est temps, maintenant plus que jamais, de partager avec le public et surtout les partenaires nos expériences, résultats et acquis.
Dans le cadre du CIBAF (Cours Interdisciplinaire en Biotechnologies pour l’Afrique Francophone), le Directeur Exécutif de l’ONG, en la personne de M. Ahmadou DOUMBIA a produit un mémoire sur le thème « problématique des OGM au Mali, avantages et inconvénients ; quels choix pour les producteurs. »
Ce mémoire très riche d’analyses est une contribution sur le sujet valable pour toute l’afrique de l’ouest.
Bonne lecture !
Dans le cadre du CIBAF (Cours Interdisciplinaire sur les Biotechnologies en Afrique Francophone), le Directeur de l’ONG, M. DOUMBIA a traité le thème : problématique des OGM au Mali ; avantages et inconvénients ; quels choix pour les producteurs ?
Le contenu de son mémoire dont nous mettons une copie sur notre site est très riche d’enseignements et de leçons non seulement pour le Mali mais aussi pour la sous -région à l’heure où la problématique se généralise.
Dans le cadre de ses études au CIEDEL et à l’Université de Lille 1 en France, Mr. DOUMBIA Ahmadou, Directeur Exécutif de Le Tonus, s’est penché sur ce thème dont l’intérêt n’est plus à démontrer pour nos pays en Afrique au Sud du Sahara. Nous mettons à la disposition de nos lecteurs le rapport et les conclusions issus de cette étude qui a porté sur des cas pratiques au Mali.
La géomatique regroupe plusieurs outils et méthodes permettant d’intégrer et de traiter une panoplie de données en lien avec le territoire en vue de représenter visuellement ce dernier. L’aboutissement final est souvent sous forme de carte, mais il peut également s’agir de graphiques, par exemple, issus de traitements statistiques.
L’ONG Le Tonus, à travers son projet « Gestion Communautaire des Ressources Naturelles dans 07 communes rurales du cercle de Kati- phase de renforcement des acquis » appuie un certain nombre de communes dans l’identification et la matérialisation des pistes afin de faciliter le passage des animaux sans beaucoup de contraintes avec les agriculteurs. C’est dans ce cadre qu’elle s’est dotée d’instruments pouvant mieux faciliter le travail et dans la plus grande précision. Il s’agit de :
un GPS (global positioning system) : instrument qui permet de faire des collectes de données (prise de points, tracé, polygone…).
un logiciel informatique, soit un système d’information géographique (SIG), libre public, Quantum GIS : système permettant de gérer des bases de données, de faire l’analyse et le traitement de ces données selon les besoins et de présenter des cartes aux acteurs du milieu afin de prendre d’éventuelles décisions.
Dans le but de donner un caractère officiel à cette activité d’élaboration du plan intercommunal de pistes pastorales, le lancement a été effectué dans la commune rurale de Yélékébougou sous la présidence du Sous Préffet Central de Kati Monsieur Chiaka Magassa. Etaient présents sur place lors du lancement une cellule de l’équipe de TONUS, les services techniques (OHVN (office de la haute vallée du Niger), services forestier, élevage et agricole, SLPIA (Service Local de Production Industrielles et Animales), les agriculteurs, les éleveurs, les mairies et les chefs de village.
Après le lancement, des ateliers ont eu lieu du 26 septembre au 5 octobre 2011 dans chacune des communes où des sous-commissions ont été mises sur pied et ces dernières seront responsables de la collecte des données concernant le tracé du passage des animaux de transhumance dans les communes et de procéder au marquage. Cette phase du projet a débuté le 6 octobre 2011 dans la commune de Doubabougou et devrait se terminer le 20 novembre 2011 dans la commune de Diago. Notons que ce projet est soutenu par l’organisme allemand Misereor.